Reaction sur article Mains Propres (Propere Handen)
Nous nous félicitons de l'avancée dans le dossier Mains Propres (Propere Handen). Pour la Pro League, il est essentiel que toute la lumière soit faite.
Nous nous sommes portés partie civile dans le dossier Mains Propres concernant le match fixing éventuel.
La Chambre des mises en accusation se prononcera prochainement sur un certain nombre de dossiers de fraude. Nous-mêmes ne commentons pas les dossiers individuels auxquels nous n'avons pas accès.
Entre-temps, nous sommes intervenus de manière structurelle. Ainsi, notre secteur du football est le seul secteur sportif au monde à se soumettre à une législation anti-blanchiment, il y a désormais un règlement sur les agents et une Clearing House qui assure la transparence. Et dans les nouveaux dossiers de licence qui doivent être introduits à partir du 15 février, tous nos clubs sont également tenus de rédiger et respecter une charte Corporate Governance. Enfin, à partir de février, les dirigeants des clubs seront tenus de participer à la Pro League Business School, où l'éthique, la compliance et la législation anti-blanchiment sont des éléments cruciaux.
La Pro League maintient un code éthique strict pour les administrateurs de son Conseil d'Administration. Aucun administrateur du nouveau Conseil d'Administration de la Pro League n'a été nommé, ou n'a fait l'objet de soupçons, dans le dossier Mains propres.
Comme chacun le sait, la Pro League a choisi de mettre tous les types de sanctions disciplinaires entre les mains de juges indépendants au sein de la RBFA. Sinon, les clubs devraient se juger et se sanctionner eux-mêmes, étant ainsi juges et parties. Le Parquet de la Fédération, qui intente les actions, va donc maintenant évaluer si les infractions au Règlement fédéral seront également sanctionnées sur le plan disciplinaire.